Elaine Godkin

Il a fallu une année entière avant qu’Elaine a pu de nouveau lire des livres ou regarder la télévision après son AVC. Elle dit que trouver le groupe sur Facebook de la Marche des dix sous du Canada a « changé sa vie », car elle a trouvé d’autres personnes qui éprouvaient certaines des mêmes choses qu’elle.

Elaine fait une courtepointe, assise devant une machine à coudre

Elaine Godkin était une couturière passionnée qui aimait faire des courtepointes pour les donner à sa famille et à ses amis. Ensuite, elle a subi un AVC et elle ne pensait plus jamais faire des courtepointes.

« Cette journée, j’avais un petit mal de tête, » dit Elaine. « Je ne croyais pas qu’il y avait lieu de m’inquiéter, donc, je suis allée à une réunion ce soir-là. » Après cela, Elaine a ressenti une horrible douleur derrière son œil droit. Alors qu’une de ses amies cherchait du Tylenol, l’autre a suggéré qu’elle s’asseye.

C’est la dernière chose dont Elaine se souvient avant de se réveiller à l’hôpital.

Plus tard, elle a découvert qu’elle avait subi un ACV hémorragique au tronc cérébral, et qu’un médecin a effectué une chirurgie nécessaire à la survie. Elle était dans un coma artificiel pendant trois semaines.

Quand elle s’est réveillée, la première chose qu’elle a remarqué était sa diplopie. De plus, Elaine partage que son « équilibre n’était pas bon depuis la première fois qu’ils m’ont permis de me tenir debout. »

L’équipe à l’hôpital a commencé sa physiothérapie avec les objectifs d’augmenter la force dans ses jambes et de réapprendre à marcher. À sa sortie de l’hôpital, elle est allée chez un physiothérapeute une fois par semaine pour se concentrer sur son équilibre et elle a utilisé des exercices visuels pour essayer d’améliorer sa vue.

Six mois après le moment quand elle a subi son AVC, Elaine était fière de marcher seule dans l’allée centrale dans l’église ce Noël, en utilisant les bancs pour du soutien.

Bien qu’elle attende actuellement une chirurgie pour améliorer sa persistante diplopie, Elaine est encouragée par son progrès jusqu’à présent et elle continue d’aller de l’avant.

En utilisant son déambulateur, elle peut maintenant se promener dans le quartier. Elaine a aussi dépoussiéré sa machine à coudre, car elle a recommencé à faire de la courtepointe.

Trois ans après son AVC, Elaine a fait une courtepointe pour un grand lit, et elle n’a pas cessé depuis.

« Ça me prend plus de temps pour faire ces choses, mais je suis contente de pouvoir les faire, » dit Elaine. « J’encourage les autres survivants d’un AVC d’essayer, même si vous pensez que vous ne pouvez pas le faire. Vous ne saurez jamais si vous ne l’essayez pas! »

Comment nous avons aidé

Il a fallu une année entière avant qu’Elaine a pu de nouveau lire des livres ou regarder la télévision après son AVC. Elle dit que trouver le groupe sur Facebook de la Marche des dix sous du Canada a « changé sa vie », car elle a trouvé d’autres personnes qui éprouvaient certaines des mêmes choses qu’elle.

Elaine a aussi commencé à participer au Groupe de conversations communautaires d’Après un AVC, établissant un lien avec d’autres survivants d’un AVC et proches aidants à l’échelle du Canada pour partager des connaissances, des expériences, et des ressources.

Discuter avec d’autres personnes qui ont aussi éprouvé un AVC ou des AVC a réduit les sentiments d’isolement et de solitude pour Elaine et cela a suscité des amitiés durables. Elaine dit que c’est utile pour des réponses à des questions et une discussion générale au sujet des enjeux liés à l’AVC. De plus, sa confiance a crû alors qu’elle a aidé à d’autres personnes le long de leur cheminement de rétablissement après un AVC.

« J’encouragerait quiconque a subi un AVC de se joindre à ces types de groupes, » dit Elaine. « Les deux ont changé ma vie pour le mieux. »

Elle a récemment aussi commencé à faire du bénévolat en tant que Bénévole d’entraide d’Après un AVC, fournissant du soutien individuel aux autres survivants d’un AVC. Elaine aime la conversation et le conseil et elle encourage les autres survivants d’un AVC de « ne jamais lâcher et de continuer d’essayer. Ce peut sembler que vous ne faites pas de progrès, mais si vous repensez au début, vous pouvez voir combien vous avez réalisé. »