Maintenant, la situation d’Angie Montagnese est bonne. « J’ai toujours été une personne ambitieuse et forte, » dit Angie. « J’ai changé une mauvaise expérience en une excellente expérience. J’aime ma vie et je ne pourrais pas demander mieux. »
Il y a cinq ans, à l’âge de 43 ans, Angie a subi un avertissement. Elle était étourdie, elle a perdu la vue et elle a perdu connaissance. Quand elle a repris connaissance, elle a pu appeler son fils et il a composé le 9-1-1.
Quand elle est arrivée à l’hôpital, sa vue est revenue, elle a été traitée pour le vertige et renvoyée chez elle. Mais Angie savait que quelque chose n’allait pas.
Deux semaines plus tard, elle a subi un AVC.
Cette fois-ci, son bras est tombé, engourdi, sur le côté et elle avait de la douleur au cou. Elle a composé le 9-1-1. Angie a dit aux ambulanciers et médecins qu’elle pensait qu’elle subissait un AVC. Quand les médecins l’ont examinée, ils ont pensé que ce doit être quelque chose d’autre, car elle est une femme, et si jeune. Ils l’ont traitée pour un disque hernié et ils l’ont renvoyée chez elle.
Angie a insisté pour une IRM. Quatre semaines plus tard, l’IRM a confirmé qu’elle avait en fait subi deux AVC.
Dans le cadre de son traitement, Angie a participé à la réadaptation neurologique ambulatoire. C’est là où son ergothérapeute lui a parlé du programme Après un AVC et du Peel Stroke Support Group de la Marche des dix sous du Canada.